- mer. sept. 24, 2014 8:07 am
#274464
Bonjour Clarinette,
Les résultats semblent bons pour Anaïs. tout va bien si ce n'est ce corset qu'il va falloir encore et toujours continuer à mettre.
Anaïs approche de ses 14 ans, comme Thomas qui les aura dans deux jours. "Avec l'âge", les caractères s'affirment et parfois le corset est victime de quelques rebellions, d'un petit ras le bol. Mais la raison l'emporte toujours et les enfants continuent à s'appliquer au fil du temps.
Anaïs est là depuis ses 5 ans, Thomas depuis ses 7 ans. A force de temps, de messages, de lecture, on a parfois l'impression que les uns font partie de la famille des autres, comme je l'avais envoyé une année à Noël. Chacun partage le courage des autres, les coups de coeur, de gueule ou de joie sont communs aux uns et aux autres. Nous, les grands, restons là à côté de nos enfants, solidaires en dehors mais si souvent inquiets ou tristes pour nos enfants en dedans. Près d'eux, fiers d'eux comme jamais de nous avoir tant appris sur eux, sur leur courage. Sur nous aussi, sur la valeur de chaque instant à leurs côtés, sur cette vie de parents un peu différente avec nos rides aux coins des yeux de quelquefois.
Encore "quelques années de courage" , longues pour nos enfants ou trop courtes pour nous pour qui le temps semble passer si vite, et Anaïs pourra enfin triompher plus tard de tout cela, je le souhaite. Comme pour Thomas et tous les autres enfants présents ici depuis tant d'années de courage.
Meilleures pensées,
Franck
Les résultats semblent bons pour Anaïs. tout va bien si ce n'est ce corset qu'il va falloir encore et toujours continuer à mettre.
Anaïs approche de ses 14 ans, comme Thomas qui les aura dans deux jours. "Avec l'âge", les caractères s'affirment et parfois le corset est victime de quelques rebellions, d'un petit ras le bol. Mais la raison l'emporte toujours et les enfants continuent à s'appliquer au fil du temps.
Anaïs est là depuis ses 5 ans, Thomas depuis ses 7 ans. A force de temps, de messages, de lecture, on a parfois l'impression que les uns font partie de la famille des autres, comme je l'avais envoyé une année à Noël. Chacun partage le courage des autres, les coups de coeur, de gueule ou de joie sont communs aux uns et aux autres. Nous, les grands, restons là à côté de nos enfants, solidaires en dehors mais si souvent inquiets ou tristes pour nos enfants en dedans. Près d'eux, fiers d'eux comme jamais de nous avoir tant appris sur eux, sur leur courage. Sur nous aussi, sur la valeur de chaque instant à leurs côtés, sur cette vie de parents un peu différente avec nos rides aux coins des yeux de quelquefois.
Encore "quelques années de courage" , longues pour nos enfants ou trop courtes pour nous pour qui le temps semble passer si vite, et Anaïs pourra enfin triompher plus tard de tout cela, je le souhaite. Comme pour Thomas et tous les autres enfants présents ici depuis tant d'années de courage.
Meilleures pensées,
Franck