- mar. août 23, 2016 3:33 pm
#289980
Bonjour,
Je me présente j’ai 44 ans et je me suis fait opéré début janvier 2016 d’une arthrodèse T11-S1 et en févier 2016 de la pose de cages L4-L5-S1. J’ai découvert le forum récemment et il est vrai que j’aurai eu réponses à toutes mes questions, mais peut-être que je ne voulais pas savoir contrairement à d’autres, si non cela aurait été plus difficile d’y aller.
En vous lisant mon parcours, mon histoire serait identique à beaucoup d’autres : plâtres, corset à l’adolescence, kiné, radios, médecins, spécialistes…
A 16 ans on pense davantage à faire de la mob ou à aller courir les filles qu’à sa colonne vertébrale surtout quand elle ne vous fait pas souffrir. Si je garde de très mauvais souvenirs des plâtres et du corset, ils ne m’ont jamais empêché de vivre bien au contraire.
Mais voilà, 28 ans plus tard, elle m’a bien rattrapée. Fin janvier 2015, 100 mètres de marche et des douleurs atroces (derrière la fesse à droite, le long de la jambe jusque dessous le pied droit). Cela fera 2 ans en septembre que je suis en arrêt de travail. Ce que je souhaite surtout dire dans ma présentation, c’est les difficultés rencontrées tout au long de mon parcours pour trouver une solution. Je pensais qu’au bout de 28 ans la scoliose était connue et que les réponses pour la combattre seraient simples mais dur dure. Mon médecin traitant s’est pas son truc, on commence le protocole par des traitements, infiltrations, kiné, ostéopathe, sans résultat. Ensuite radios, scanner, IRM, pour voir que la scoliose avait vraiment évoluée 33 et 41° en lombaire et les disques complètement usés. A la remise de tous ces résultats mis à part vous dire que ce n’est pas joli,on ne m'a pas dit grand chose, vous verrez avec votre médecin.
Sur ce en plus des rdv médicaux, il y tout le côté administratif.
Les experts (Miami) je les appelle, le 1er pour le maintien de salaire, (je suis agent territoriale) à la retraite on aurait dit le père Fourrat. Il me dit : "effectivement, vous avez une scoliose pas besoin de radio, gibosité à droite, Ok je valide, je vous conseille d’aller voir une guérisseuses dans la Forêt à bout de brousse merci au revoir".
Le deuxième pour le passage en clm, un rhumatologue « Ah encore un qui à mal au dos » m’a t-il lâché d’entrée de jeux, je me suis dit que cela allait se terminer en pugilat. Il sait très vite détendu après avoir épluché mon dossier, le compte rendu du chirurgien lui a fait fermer son clapet et il m’a conseillé de ne pas me faire opérer (le doute s’installe).
Et bien sûr les assurances pour le crédit immobilier, je vous conseille de bien lire le contrat et les petites lignes, tous ce qui concerne le dos est compliqué, ils sont malins. Mais dans mon cas il était écrit "sauf si opération", malgré la date d'intervention connue et une attestation du chirurgien confirmant la date. Cela ne suffisait pas il fallait le compte rendu opératoire donc attendre. Aucun contact humain uniquement des échanges par courrier, à croire que c'est une machine qui répond. Les assurances c’est les champions, ils essayent de vous avoir à l’usure.
Je me demande comment font les personnes seules et vraiment malade pour faire face à tout ce côté administratif qui fatigue plus que la maladie elle-même.
Après rdv avec 2 chirurgiens sur Clermont-Ferrand, le 1er
honnête," je ne touche pas, je vous conseille le CDM à Lyon". Le deuxième pareil "CDM à Lyon". Là je me suis dit pas bon, j’avais pris mon ticket pour « Lourdes », alors rdv à Lyon en avril 2015 avec le Dr R. et là enfin quelqu’un qui comprend et vous explique tout ses résultats et certes le résultat final l’opération, on prend une claque (je me souviens l’explication avec la maquette de la colonne et le matériel dans ses mains), mais c’est la seule solution. Après quelques jours de réflexion avec ma femme, je valide car les délais sont assez longs. J’ai pu me préparer et préparer l’après opération jusqu’au mois de janvier avec la douleur de plus en plus intense. Faire tout les examens cardiologie, dentiste, vaccin…
Début janvier direction le CDM à Lyon en VSL inquiet mais hâte que la douleur s’arrête, j’avais la chance d’avoir ma femme et ma fille qui fait ses études à Lyon et elle avait son appartement donc je ne suis jamais resté seul, la présence des proches c’est une partie de la guérison et elles aussi j’en suis sûre elles étaient aussi inquiète que moi. Ma femme lira mon histoire pour corriger mes quelques fautes d’orthographe. Sans s’en rendre compte on use et fatigue son entourage, peut être les traitements et puis on veut faire ce que l'on faisait avant et on ne peut pas ça énerve, c'est très difficile. Je me rends compte qu'il va falloir du temps et prendre le temps.
La veille de l'opération, tout le monde veux s'enfuir même par la fenêtre mais on vous donne de quoi passer une bonne nuit et le lendemain après la 2ème douche quelques calmants et je suis arrivé serein jusqu'au bloc - 7h plus tard enfin la 1ère étape et la plus grosse était faîte - 2 jours en salle de réveil, 1er pas (bizarre pas de douleurs mais l'impression d'avoir un aimant qui me colle le dos au lit). On nous apprend à se lever et se coucher très important pour les futurs opéré demander à votre kiné de vous l'apprendre. Je pense personnellement que çà aurait été plus facile car on gueunille au début. Surtout avec tout les tuyaux (je pensais pas qu'on puisse brancher autant de tuyaux sur un corps humain, surtout la sonde urinaire , le genre de détail pour moi qu'il ne vaut mieux pas connaître avant.
Je n'ai pratiquement pas eu besoin de la pompe à morphine et avec le paquet de cachets et l'anesthésie l'expression avoir 2 de tension, maintenant je sais ce que cela veut dire. La kiné passe tout les jours et tout les jours on marche et après je marche seul du lit à la salle de bain, à la fenêtre, à la porte, dans le couloir, je prends l'ascenseur jusqu'à la machine à café et je vais jusqu'à l'entrée, je marche et je n'ai plus la douleur qui me faisait souffrir. Certes le matériel et la cicatrice sont là, ça tire un peu, mais je marche, je n'ai plus mal. L'équipe au CDM est super, le côté humain, le professionnalisme, la disponibilité, la jeunesse, la bonne humeur, font passer le séjour sans aucun souci. je suis resté 10 jours au lieu des 15 prévus. Il me restait une question l'on m'avait parlé d'un corset après- l'opération, le fantôme du corset était revenu. Mais non, on vous confectionne à votre morphologie un coutil et là jusqu'à ce jour, heureusement que je l'ai cela rassure. J'ai essayé moultes ceintures lombaires, mais là c'est la Ferrari, c'est une béquille pour reprendre tout doucement la marche, je le porte maintenant lorsque je fais des efforts, si non cela devient une mauvaise habitude, mais cela permet de reprendre le cours de la vie plus facilement.
Retour à la maison en VSL, 2 heures de route et j'ai eu mal, on vous remet un coussin et une pince. Il faut passer à la pharmacie pour les médicaments et contacter l'infirmière pour les soins quotidiens, pansements, piqûre pour éviter la phlébite, prise de sang. Et on reprend le cours de sa vie, il y a des hauts et des bas, des doutes, des questions, de gros problèmes de concentrations, certainement dus au traitement. Resté au lit et une véritable torture, la tv vite fait le tour, heureusement il y a internet.
3 semaines après je pouvais faire des petit parcours en voiture et je bricolais déjà dans mon garage. Mais début février, la 2ème opération effectuée par le Dr D., je n'avais vraiment pas envie d'y aller, c'était pour la pose des cages L4- L5 - S1. de retour au CDM on connaît maintenant çà va plus vite, chambre à 2 mais avec un jeune, on a bien rigolé. Ah un conseil pour les hommes autant tout rasé avant dos ventre, torse,çà va plus vite.
Cà va mieux pour cette opération, on me donne des cachets pour dormir, douches, direction le bloc (petite question avant de m'endormir, vous ne mettez pas de sonde urinaire, réponse si AIE on vous la mets au début de l'opération et ensuite on la retire en fin d'opération OUF. 3 heures plus tard, retour en chambre direct, tête dans le f... , on se remet plus vite, je remarche tout de suite merci le coutil.
C'était pendant les vacances scolaires, beaucoup de jeunes, beaucoup de tristesse et d inquietude dans les regards on essaie de rassurer car pour moi celà se passe bien. De retour à la maison, çà va beaucoup mieux, la reprise de la marche beaucoup plus intensive est un peu difficile, des courbatures m'empêchement de dormir durant 3 semaines. mon médecin m'a donné des cachés pour dormir.
En conclusion, à ce jour le jeux en vaut la chandelle, je marche, je marche, je marche, plus de douleur. Il faut apprendre et réapprendre à écouter ce nouveau corps (mes amis, ma famille on eu pour 1ère impression, mais tu as grandi ? je réponds non je me tiens droit ma mère n'aura plus jamais à me le dire lol). Physiquement il est certain que l'on change en mieux et avec le coutil vous avez une taille de guêpe, ma femme était jalouse. plus de gibosité en bas à droite, droit comme un I, mais je suis très grand 1.83 maintenant elle n'était pas trop visible.
1er rdv avec le dr D. en juin tout va bien matériel et greffe. rdv en octobre avec le Dr R et déjà rdv pour la rééducation en novembre au CDM.
je vous remercie de m'avoir lu et je vous remercie d'être là l'association et le forum pour soutenir et nous aiguiller face la scoliose. je vous tiendrai au courant de mes prochaines aventures et j'aurais certainement des questions.
Déjà une suite à l'opération, avez-eu des accouphènes ? merci
Je me présente j’ai 44 ans et je me suis fait opéré début janvier 2016 d’une arthrodèse T11-S1 et en févier 2016 de la pose de cages L4-L5-S1. J’ai découvert le forum récemment et il est vrai que j’aurai eu réponses à toutes mes questions, mais peut-être que je ne voulais pas savoir contrairement à d’autres, si non cela aurait été plus difficile d’y aller.
En vous lisant mon parcours, mon histoire serait identique à beaucoup d’autres : plâtres, corset à l’adolescence, kiné, radios, médecins, spécialistes…
A 16 ans on pense davantage à faire de la mob ou à aller courir les filles qu’à sa colonne vertébrale surtout quand elle ne vous fait pas souffrir. Si je garde de très mauvais souvenirs des plâtres et du corset, ils ne m’ont jamais empêché de vivre bien au contraire.
Mais voilà, 28 ans plus tard, elle m’a bien rattrapée. Fin janvier 2015, 100 mètres de marche et des douleurs atroces (derrière la fesse à droite, le long de la jambe jusque dessous le pied droit). Cela fera 2 ans en septembre que je suis en arrêt de travail. Ce que je souhaite surtout dire dans ma présentation, c’est les difficultés rencontrées tout au long de mon parcours pour trouver une solution. Je pensais qu’au bout de 28 ans la scoliose était connue et que les réponses pour la combattre seraient simples mais dur dure. Mon médecin traitant s’est pas son truc, on commence le protocole par des traitements, infiltrations, kiné, ostéopathe, sans résultat. Ensuite radios, scanner, IRM, pour voir que la scoliose avait vraiment évoluée 33 et 41° en lombaire et les disques complètement usés. A la remise de tous ces résultats mis à part vous dire que ce n’est pas joli,on ne m'a pas dit grand chose, vous verrez avec votre médecin.
Sur ce en plus des rdv médicaux, il y tout le côté administratif.
Les experts (Miami) je les appelle, le 1er pour le maintien de salaire, (je suis agent territoriale) à la retraite on aurait dit le père Fourrat. Il me dit : "effectivement, vous avez une scoliose pas besoin de radio, gibosité à droite, Ok je valide, je vous conseille d’aller voir une guérisseuses dans la Forêt à bout de brousse merci au revoir".
Le deuxième pour le passage en clm, un rhumatologue « Ah encore un qui à mal au dos » m’a t-il lâché d’entrée de jeux, je me suis dit que cela allait se terminer en pugilat. Il sait très vite détendu après avoir épluché mon dossier, le compte rendu du chirurgien lui a fait fermer son clapet et il m’a conseillé de ne pas me faire opérer (le doute s’installe).
Et bien sûr les assurances pour le crédit immobilier, je vous conseille de bien lire le contrat et les petites lignes, tous ce qui concerne le dos est compliqué, ils sont malins. Mais dans mon cas il était écrit "sauf si opération", malgré la date d'intervention connue et une attestation du chirurgien confirmant la date. Cela ne suffisait pas il fallait le compte rendu opératoire donc attendre. Aucun contact humain uniquement des échanges par courrier, à croire que c'est une machine qui répond. Les assurances c’est les champions, ils essayent de vous avoir à l’usure.
Je me demande comment font les personnes seules et vraiment malade pour faire face à tout ce côté administratif qui fatigue plus que la maladie elle-même.
Après rdv avec 2 chirurgiens sur Clermont-Ferrand, le 1er
honnête," je ne touche pas, je vous conseille le CDM à Lyon". Le deuxième pareil "CDM à Lyon". Là je me suis dit pas bon, j’avais pris mon ticket pour « Lourdes », alors rdv à Lyon en avril 2015 avec le Dr R. et là enfin quelqu’un qui comprend et vous explique tout ses résultats et certes le résultat final l’opération, on prend une claque (je me souviens l’explication avec la maquette de la colonne et le matériel dans ses mains), mais c’est la seule solution. Après quelques jours de réflexion avec ma femme, je valide car les délais sont assez longs. J’ai pu me préparer et préparer l’après opération jusqu’au mois de janvier avec la douleur de plus en plus intense. Faire tout les examens cardiologie, dentiste, vaccin…
Début janvier direction le CDM à Lyon en VSL inquiet mais hâte que la douleur s’arrête, j’avais la chance d’avoir ma femme et ma fille qui fait ses études à Lyon et elle avait son appartement donc je ne suis jamais resté seul, la présence des proches c’est une partie de la guérison et elles aussi j’en suis sûre elles étaient aussi inquiète que moi. Ma femme lira mon histoire pour corriger mes quelques fautes d’orthographe. Sans s’en rendre compte on use et fatigue son entourage, peut être les traitements et puis on veut faire ce que l'on faisait avant et on ne peut pas ça énerve, c'est très difficile. Je me rends compte qu'il va falloir du temps et prendre le temps.
La veille de l'opération, tout le monde veux s'enfuir même par la fenêtre mais on vous donne de quoi passer une bonne nuit et le lendemain après la 2ème douche quelques calmants et je suis arrivé serein jusqu'au bloc - 7h plus tard enfin la 1ère étape et la plus grosse était faîte - 2 jours en salle de réveil, 1er pas (bizarre pas de douleurs mais l'impression d'avoir un aimant qui me colle le dos au lit). On nous apprend à se lever et se coucher très important pour les futurs opéré demander à votre kiné de vous l'apprendre. Je pense personnellement que çà aurait été plus facile car on gueunille au début. Surtout avec tout les tuyaux (je pensais pas qu'on puisse brancher autant de tuyaux sur un corps humain, surtout la sonde urinaire , le genre de détail pour moi qu'il ne vaut mieux pas connaître avant.
Je n'ai pratiquement pas eu besoin de la pompe à morphine et avec le paquet de cachets et l'anesthésie l'expression avoir 2 de tension, maintenant je sais ce que cela veut dire. La kiné passe tout les jours et tout les jours on marche et après je marche seul du lit à la salle de bain, à la fenêtre, à la porte, dans le couloir, je prends l'ascenseur jusqu'à la machine à café et je vais jusqu'à l'entrée, je marche et je n'ai plus la douleur qui me faisait souffrir. Certes le matériel et la cicatrice sont là, ça tire un peu, mais je marche, je n'ai plus mal. L'équipe au CDM est super, le côté humain, le professionnalisme, la disponibilité, la jeunesse, la bonne humeur, font passer le séjour sans aucun souci. je suis resté 10 jours au lieu des 15 prévus. Il me restait une question l'on m'avait parlé d'un corset après- l'opération, le fantôme du corset était revenu. Mais non, on vous confectionne à votre morphologie un coutil et là jusqu'à ce jour, heureusement que je l'ai cela rassure. J'ai essayé moultes ceintures lombaires, mais là c'est la Ferrari, c'est une béquille pour reprendre tout doucement la marche, je le porte maintenant lorsque je fais des efforts, si non cela devient une mauvaise habitude, mais cela permet de reprendre le cours de la vie plus facilement.
Retour à la maison en VSL, 2 heures de route et j'ai eu mal, on vous remet un coussin et une pince. Il faut passer à la pharmacie pour les médicaments et contacter l'infirmière pour les soins quotidiens, pansements, piqûre pour éviter la phlébite, prise de sang. Et on reprend le cours de sa vie, il y a des hauts et des bas, des doutes, des questions, de gros problèmes de concentrations, certainement dus au traitement. Resté au lit et une véritable torture, la tv vite fait le tour, heureusement il y a internet.
3 semaines après je pouvais faire des petit parcours en voiture et je bricolais déjà dans mon garage. Mais début février, la 2ème opération effectuée par le Dr D., je n'avais vraiment pas envie d'y aller, c'était pour la pose des cages L4- L5 - S1. de retour au CDM on connaît maintenant çà va plus vite, chambre à 2 mais avec un jeune, on a bien rigolé. Ah un conseil pour les hommes autant tout rasé avant dos ventre, torse,çà va plus vite.
Cà va mieux pour cette opération, on me donne des cachets pour dormir, douches, direction le bloc (petite question avant de m'endormir, vous ne mettez pas de sonde urinaire, réponse si AIE on vous la mets au début de l'opération et ensuite on la retire en fin d'opération OUF. 3 heures plus tard, retour en chambre direct, tête dans le f... , on se remet plus vite, je remarche tout de suite merci le coutil.
C'était pendant les vacances scolaires, beaucoup de jeunes, beaucoup de tristesse et d inquietude dans les regards on essaie de rassurer car pour moi celà se passe bien. De retour à la maison, çà va beaucoup mieux, la reprise de la marche beaucoup plus intensive est un peu difficile, des courbatures m'empêchement de dormir durant 3 semaines. mon médecin m'a donné des cachés pour dormir.
En conclusion, à ce jour le jeux en vaut la chandelle, je marche, je marche, je marche, plus de douleur. Il faut apprendre et réapprendre à écouter ce nouveau corps (mes amis, ma famille on eu pour 1ère impression, mais tu as grandi ? je réponds non je me tiens droit ma mère n'aura plus jamais à me le dire lol). Physiquement il est certain que l'on change en mieux et avec le coutil vous avez une taille de guêpe, ma femme était jalouse. plus de gibosité en bas à droite, droit comme un I, mais je suis très grand 1.83 maintenant elle n'était pas trop visible.
1er rdv avec le dr D. en juin tout va bien matériel et greffe. rdv en octobre avec le Dr R et déjà rdv pour la rééducation en novembre au CDM.
je vous remercie de m'avoir lu et je vous remercie d'être là l'association et le forum pour soutenir et nous aiguiller face la scoliose. je vous tiendrai au courant de mes prochaines aventures et j'aurais certainement des questions.
Déjà une suite à l'opération, avez-eu des accouphènes ? merci
Modifié en dernier par dark7003 le lun. oct. 09, 2017 8:29 pm, modifié 1 fois.